Sports

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En 2025 on souligne le 50e anniversaire

L’Autodrome de Saint-Félicien change de main

Jean Tremblay
Le 24 avril 2025 — Modifié à 05 h 51 min le 24 avril 2025
Par Jean Tremblay - Journaliste

Depuis le mardi 22 avril dernier, Mickaël Deschenes et Olivier Verreault sont les nouveaux propriétaires de l’Autodrome de Saint-Félicien. Le complexe de courses était la propriété de Dave Bradette depuis six ans, dont les trois dernières années comme unique actionnaire.


« En octobre dernier nous avions signé une offre d’achat qui a été finalisée cette semaine », explique Mickaël Deschenes déjà propriétaire, depuis 2021, avec sa conjointe Vanessa Larouche du Karting – Go-Karts – Rigolfeur, situés près du Zoo sauvage.


Programmation 2025


La programmation 2025 permettra aux amateurs de sensations fortes d’assister à 12 événements dont l’un, le 6 septembre, qui vise à souligner le 50e anniversaire du complexe. Le calendrier débute le samedi 24 mai avec une course d’accélération, pour se terminer à la mi-septembre.


« Nous présenterons trois Enfers, six courses d’accélération, un derby de démolition, un super weekend de motos et un spectacle de « Monster truck » qui aura lieu le 6 septembre. S’ajoutent, à la programmation 2025, un weekend pour les vélos et un autre pour le club « lapping » », précise Olivier Verreault.


Comme pour les années précédentes les classes locales Kamikaze, sport-compact et street stock V8 seront en piste à quatre occasions.


Un partenariat qui tombe à point


Mickaël Deschenes raconte, en souriant, avoir eu le goût d’acheter l’Autodrome de Saint-Félicien depuis un certain temps, mais il devait, au préalable, convaincre son épouse, Vanessa Larouche qui explique : « Je lui disais toujours non jusqu’à ce qu’Olivier Verreault (18 ans), s’ajoute comme partenaire. Là, j’ai changé mon discours. »


« Il ne faut pas oublier que le weekend le karting et le rigolfeur sont en opération. Il fallait donc trouver un associé pour conclure la transaction. Je connais bien Olivier, car il travaille pour moi, depuis cinq ans », conclut Mickaël Deschenes.
 

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