L’invitation adressée à la population par la Ville de Saint-Félicien et le promoteur du futur développement résidentiel secteur Bellevue a attiré une cinquantaine de personnes le mercredi 4 décembre dernier à la salle du Club de l’Âge d’Or de l’endroit.
« Les promoteurs et la firme Groupe MSH ont pu présenter le développement et répondre aux questions des citoyens. Le service de l'urbanisme et le service des travaux publics étaient également disponibles pour entendre les commentaires portant sur des aspects relatifs au zonage ou aux infrastructures », explique Léa Bédard-Beaulieu, conseillère en communication et aux relations avec le milieu pour la Ville de Saint-Félicien.
Situé à l’extrémité de la rue Bellevue Sud, à l’endroit où une base d’aviation a été opérée pendant de nombreuses années par feu Clermont St-Gelais, l’endroit est devenu, par la suite, un terrain de camping. Les promoteurs Jean Dumas et ses deux fils Marc-Antoine et Simon-Olivier désirent réaliser ce projet en deux phases.
Il consiste à aménager un développement résidentiel de basse et moyenne densité (résidences unifamiliales, bi familiales et en rangée).
Première phase
La première phase que l’on souhaite inaugurer à l’automne 2025 ou au printemps 2026 comporte 46 résidences avec une construction graduelle au fil des prochaines années.
On y retrouvera plusieurs possibilités d’habitation, soit 21 résidences unifamiliales en bordure de la rivière Ashuapmushuan, 4 résidences unifamiliales contiguës (maisons en rangée), 17 résidences unifamiliales isolées et 4 résidences unifamiliales jumelées.
Deuxième phase
La deuxième phase comprendra 44 résidences. La possibilité d’habitation de cette phase comprend 18 résidences unifamiliales jumelées, 10 résidences unifamiliales isolées et 16 résidences unifamiliales contiguës (maisons en rangée).
« Nous remercions les résidents du secteur pour leur participation à cette rencontre dont l'objectif était de les informer sur le projet et de recueillir leurs commentaires. Les différents intervenants reliés au projet effectueront maintenant les analyses nécessaires pour apporter des réponses supplémentaires à leurs questions et à leurs préoccupations », conclut la conseillère aux communications.